L’art de changer de pseudo

 

 

Finalement, je me demande si ce serait pas une bonne idée de me trouver un pseudo…

Alors j’ai bien eu quelques suggestions intéressantes, comme « Mickeylchose », ou « Niquez les tees », mais à la réflexion, je préfèrerais en prendre un bien chiant, du style « put1ckelouplasépavréjelkroapas ! » ou « jorémieufédrestéolismatin ! », mais je ne sais pas, j’hésite, parce qu’il y en a bien d’autres, comme par exemple, façon SMS :

 

« lemieusédpaluirépondr »

« passrapalakanikulsagzantia »

« islajououkwasépavré »

« sépuandprétansionysprenpourdékich »

« vapalbouklébientoalafin »

« folboykotésandélé »

« ilamêmplulbénéfisdudout »

« jvéluipétéléchinoferneuf »

« lésleuyvasfatiguétouseul »

« éyvasférdékopinalapel »

« jvéldémontéjvéluienlvélépil »

« samérsérukiésasésur »

« onvaférkomsilétépala »

« onsanbranlldesonjnoukikrèv »

« téankarantènmonpotbiskbiskrage »

« mémalaféfégéyzanveulplutakavoar »

« ynousoûllatètfolachvé »

« sédularoudukochonfodrésavoaralafin »

« môajlimêmplusépostsébienféna ! »

 

chiant à lire, hein ?

 

j’hésite…

 

Bon, vous caillez pas le lait, dès que mon genou aura retrouvé le sourire, j’arrête de pomper l’air aux ursidés et je retourne dare-dare labourer les fairways (gaffe Fairway, gaffe !!)

 

Bref, je ferme ma gueule de raie pour une durée (duraie ?) inde et terminée qui pourra varier entre quinze secondes et six mois montre en main.

 

Faut pas abuser des bonnes choses.

 

Kassos.