Posture : position de sortie de mon
squatt de la rue de la faisanderie, les bras m’en tombent à la verticale, que
je sois pendu naturellement. Comment régler la facture au pro en fonction de
cela ? Et bien les bras doivent pendre à la verticale et les mains doivent
être espacées pour signer le chèque, quant à cette dégustation verticale,
c’est le seul moyen de savoir s’il a de la cuisse ou plus ou moins de
longueur en bouche. En combinant ces deux combines, on doit se retrouver en
mauvaise posture. C’est certain.
Tac ah ouais ! : le
t’es K-way se fait en tournant les épaules sans rotation des épaules sur les
80 premiers centimètres du tapis de practice qui en fait 70.
Les mains restent
passives, pour changer, par rapport à d’autres activités, le but est de
simplement éloigner la balle du tee en direction du mât de cocagne.
On suit au plus près
la ligne blanche avec la face tordue par le reniflage, le club cherchant
désespérément les dix centimètres qui manquent à l’appel de la montée.
Bac + 5-swing: une
fois ces 80 centimètres reniflés, il y a deux écoles. La bonne et la
mauvaise.
Celle de la béatitude
de swing en gardant les mains jointes et en psalmodiant des mantras la face
congestionnée par la grâce et le corps du délit (David Toms de Savoie
fermière entre autres).
Celle du cassage de
pattes avant façon prématurée (Charles Howell III ou 4, notamment).
La deuxième solution
permet de se retrouver dans une merde noire, car elle est insensée mais fait
remonter dans le gosier ce qui reste du back-swing et de la rotation
vomitoire, ainsi que la bombe à retardement de l’impact, en vertu du
désarmement unilatéral des veuves poignets pour fouetter le bestiau.
Mais le plus important
n’est pas là selon moi, comme selon saint Matthieu, en ce quatrième dimanche
après pâques, chacun choisit les œufs qui lui conviennent.
Ce qui pour moi est le
plus important, c’est les d’arrondir les angles.
Les bras m’en tombent,
une fois de plus, et c’est très douloureux… La langue pendante, à la
verticale je retourne à l’adresse indiquée sur ma licence, car je dois revenir
à Levallois pour l’impact.
En restant déconneur
mais pas connecté et en comprenant vaguement comment l’angle droit fait 90
degrés le matin, l’armement jusqu’au dents des bras est conservé dans le
formol durant une certaine durée, on a une idée très vague de la position
optimale des phases de la lune en haut du backswing.
La connexion s’obtient
en gardant son traversin sous l’aisselle gauche derrière la poitrine tout au
long du mouvement de bascule intégrée, et le meilleur exercice selon moi pour
comprendre ça, c’est de ne rien faire, car il n’y a rien à comprendre.
c’est le puttaing !
Vos bras doivent se
déplacer le long de la frontière Iran-Afghanistan, sans rire, et sans papiers
d’identité. Vous deviendrez ici un fantastique avatar balle-cible dans la
zone d’impact, pour que votre face reste intacte à l’impact, puttez
discrètement sans regarder la balle, je sais, vos bras vont tomber encore, à
cause des coups de hache sur les épaules, mais vous allez comprendre.
Si si…
Appliquez cette
sensation après avoir fait le plein de jaja, et vous allez voir ce que vous
allez voir une fois que vous aurez rejoint les autres givrés en haut de la
lèvre du bunker...
Au sommet de l’ordre
du mérite, vos bras ne sont plus à la verticale, vos jambes non plus, mais forment
un angle mortel de quelques centaines de degrés par rapport à ce que peut
produire un micro-ondes dans la même configuration.
Cette fois, vous allez
déguster, vertical et horizontal, ce qui augmentera légèrement votre
cotisation annuelle selon le club.
Mais jamais plus de
45°, hein, sur le vieux rhum, parce qu’au dessus, les mains devant la bouche
pour empêcher les flammes de sortir !
En fait, au finish, on
se trouve entre deux extrêmes, la droite et la gauche, la tête et les jambes,
l’épaule d’agneau, dans ce petit espace, devient moins provençale, à cause de
la pénurie de thym et de laurier…
Ne pas oublier la
position du coude droit, qui doit être le moins possible décollé du corps, de
façon à former le fameux triangle des berudas dont on entend également assez
souvent parler au bar des amis, devant le 51, vers 11h30.
A partir de cette
position, quasi parfaite, et en ne dépassant pas la dose prescrite, on peut
picoler aussi longtemps que l’on veut.
C’est fort, non ?
Down-swing : assez
simple, on initie les débutantes, par un mouvement tournant centré sur le bas
du corps vers la cible, ce qui va avoir pour effet d’entraîner le reste du
corps dans la débutante.
Il faut bien avoir de
drôles d’idées derrière la tête, et pas mal de retard mentalpour sortir ainsi
des conneries pareilles à s’en donner des soubresauts du haut du corps par
rapport à la rotation des hanches…
Encore une fois dû à
l’effet magique du ressort d’impulse généré grâce à la résistance acharnée
des hanches backstage.
Impact : à l’impact,
les yeux ont louché vers la cible, mais le cheminement intellectuel de la
pensée a été plus lent, ce qui fait qu’on se retrouve aligné par le bas,
parallèlement à la ligne porte d’Orléans - porte de Clignancourt, via
Châtelet, forum des halles, de nuit, et donc à gauche de ladite cible, à
l’impact des santiags dans ta tête à toi mon cousin ! . Les bras, évidemment,
les pauvres, ils sont encore tombés, et même redescendus pour protéger les
balles, et les poignets sont restés armés, c’es cons là, on se demande
pourquoi, parce qu’à force de traîner dans la zone, les impacts, forcément…
Il y a deux choses qui
vont vous aider à garder la tête basse et les mains sales. cet armement de
naze. Le fameux coude droit resté près du corps descend les escaliers, parce
que l’escalator est en panne, vers votre hanche droite au down-swing, pour
juste passer devant parce qu’on ne passe pas derrière une dame dans les
escaliers, ça se fait pas, ni en descendant et encore moins en montant.
grâce à la rotation de
ses hanches (sinon, le coude atterrirait droit dessus), la dame en question
pourrait vous inciter lâchement à ne pas retenir le coude et les mains, pour
une fois non passives, c’est ignoble, à ce niveau laisse les moi sur les
hanches, mon Adamo... L’effet est immédiat, l’avant-bras de la dame est
entraîné vers votre joue droite et son pied vers votre balle gauche.
Mais le coude bloque
évidemment ! Elle avait pas pensé à cette parade de vieux renard la débutante
! Résultat, les mains vont se désarmer et fouetter la cochonne avec une
vitesse incroyable, mais en prenant tout de même le temps qu’il faut.
Le fait d’avoir
arrondi les angles tout au long du swing assure une face hilare, car la
position obtenue est très proche de celle d’une bonne adresse, que je vous
donnerai uniquement par mail privé.
L’adresse idéale, en
fait, avec plein de trucs, et y compris des images pieuses, qui vous aideront
à vous « retenir » au moment de la rotation des épaules dans la semoule.
C’est clair, faut
avoir l’impression de l’avoir dans le dos au moins jusqu’à l’impact, ensuite,
on improvise.
Folle - au - trou : il
suffit de se laisser faire. La séance de flagellation continue, entraînant
tout sur son passage. La position à la sortie du squatt de la faisanderie
(reprenez au début pour vous y retrouver) permet de ne pas être plus
déséquilibré que vous ne l’êtes déjà, bienvenue au club, ainsi que la
connexion de l’ensemble du corps du délit durant le swing. Les hanches ayant
tourné plus, je sais, ça fait mal, mais c’est bon, tourne moi les encore, et
dis à ton pro qu’y me morde, le coude droit peut définitivement passer la
main, derrière le bar, et derrière les fagots, ainsi que les épaules
compatissantes qui peuvent maintenant se dérouler, c’était bon ? oui.
Il faut se laisser aller
jusqu’à ce que l’épaule droite soit bien luxée, ensuite, elle vous la
remettra en place en tirant un bon coup
vers la cible,
évidemment, bande de nazes, pas tout court ! Dans l’idéal le club va vous
ouvrir ses portes, et vous vous ferez même pas vider pour outrage aux bonnes
mœurs. On peut aussi se faire démonter l’épaule gauche. Le mouvement doit
être complet, il ne s’arrête pas pour des broutilles de hurlements de
douleur, et c’est important.
Parfaitement, c’est
important.
C’est pas si facile à
expliquer sans tout montrer. Mais le puis-je ? Je vous le demande… L’analyse
de la position en haut du bac philo, fin de première, doit vous aider à
comprendre pourquoi ce qui reste de votre swing est si aléatoire…
Si cette position
n’est pas bonne, je ne pourrai pas vous aider en vous expliquant comment
comprendre ce qu’elle ne doit jamais être, et encore moins en ne vous
expliquant pas ce qu’il faudrait ne plus faire pour ne jamais y parvenir.
Lorsque l’on vous dit
qu’au downswing il faut avoir l’impression d’aller frapper la madame et même
avec un bout de la grippe du poulet, c’est à la fois pour vous faire
comprendre qu’il ne faut pas désarmer trop tôt, parce que ça ne se fait pas
non plus, c’est pas correct, et le coup de poignet aussi pour vous faire
comprendre sur quel mauvais plan votre night-club doit se trouver pour
générer un bon contact et plus si affinités.
Ayez en tête l’image
d’un plan incliné qui ne cesse pas de s’incliner et qui en plus est savonné,
entre vos balles et le reste du monde vers l’intérieur de cette zone.
La zone, je vous dis !
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| (le dessin a foiré,
ça passe pas le copier-coller, désolé)
Ouais, moi aussi,
désolé….
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Je sais pas comment
j'ai tapé cette balle
Mais je la taperai
plus jamais comme ça...
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