Les Blagues 2

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Sorry, your browser doesn't support Java(tm). Une femme demande à son mari :

« Si je mourais, est ce que tu te re-marirais ? »« Euh...Je pense que oui, les enfants auraient besoin de quelqu’un, et puis, je me sentirais bien seul... »

« Et si tu te re-mariais, est-ce que tu lui donnerais ma voiture ? »

« Certainement, une fois morte, tu n’en auras plus besoin... »

« Et est-ce que tu lui donnerais mes bijoux ? »

« Oui, peut-être, à moins que tu ne préfères être enterrée avec... »

« Et...Est-ce que tu lui donnerais mes clubs de golfs ? »

« Ah, non, c’est impossible, elle est gauchère... »

 

 

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Il y a quelques années de cela, alors que j’étais un golfeur débutant, je jouais souvent avec une charmante partenaire, et nous nous entendions trés bien.

Par une belle journée d’avril, alors que nous avions presque terminé notre parcours habituel, nos regards se croisèrent, et c’était sûr, nous avions la même envie en même temps.

Nous fîmes un long détour par les sous-bois à la recherche d’une clairière tranquille...

En rentrant à la maison, je ne me sentais pas très clair, et je décidai d’avouer ma faute à ma femme, lui expliquant que c’était un coup de folie, et que ça ne se reproduirait plus jamais.

« arrête de me mentir, me lança-t-elle, furieuse, je suis sûre que tu as encore joué 36 trous ! »

 

 

 

 

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Jacques et Sophie jouaient le cinquième trou de leurs parcours du dimanche, un petit par trois délicat, où le malheureux jeune homme sliça son coup de fer et vit sa balle s’immobiliser tout contre un mur, pas très loin du green.

Il n’ avait pas de coup.

Subtile, sa femme lui suggéra de frapper sa balle de manière à la faire rebondir contre le mur, pour l’expédier vers le green, comme au billard...

Il s’éxécuta, mais swingua beaucoup trop fort, et pas du tout dans la bonne direction...La balle frappa sa compagne en pleine tête, puis roula dans un obstacle d’eau...

Sophie passa quinze jours à l’hôpital, avec un traumatisme crânien inquiétant, et ne voulut plus jamais jouer au golf...

Quelques semaines plus tard, Jacques jouait le même parcours avec un ami, lorsque, comme cela arrive souvent, il fit le même mauvais tee-shot sur le même trou, et retrouva sa balle au même endroit, contre le mur.

Il n’y avait toujours pas de coup...

Son partenaire lui suggéra de jouer avec le rebond, mais cette fois, Jacques refusa, visiblement boulversé :

« Ah, non...Je ne tenterai plus jamais ce genre de coup... »

« Mais pourquoi ? » s’inquiéta son ami .

« La dernière fois, ça m’a coûté un point de pénalité... »

 

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A Ballybunion, derrière les dunes, le cimetière longe le trou numéro 1.

Deux vieux irlandais jouaient ici ensemble, depuis des années, tous les vendredis à la même heure.

Ce jour là, alors que l’un d’eux s’apprêtait à putter sur le green du 1, un cortège funèbre s’approcha.

Le vieux joueur se releva, ôta son chapeau, le mit sur son coeur, et se recueillit un moment. Puis il remit son chapeau, la larme à l’oeil, et rata complètement son putt, se retrouvant à cinq mètres du trou...

Son compagnon s’étonna :

« qu’est-ce qui t’arrive, Jeff, depuis le temps qu’on joue ici, à côté du cimetière, je ne t’ai jamais vu aussi ému... »

« Oui, mais tu sais, ça faisait trente ans que l’on vivait ensemble...Elle va me manquer... »

 

 

 

 

 

 

 

Quelle est la différence entre le point G et une balle de golf ?

Un homme est très capable de chercher sa balle pendant 20 minutes.

 

 

 

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Le jour de fermeture, et à l’abri du regard des mortels, Moïse, Jésus et un vieux golfeur jouaient ensemble le parcours d’Augusta, tout bêtement parce qu’ils le trouvaient mieux que celui du Paradis.

Au départ du 12, Moïse toppa son tee-shot atrocement, sa balle roula sur le fairway, puis tomba dans l’obstacle d’eau, et disparut.

Il leva alors son fer 6, cheveux au vent, et l’on vit ciel s’assombrir...L’obstacle d’eau s’ouvrit tel une mer rouge en miniature, et la balle roula au travers, pour remonter la pente jusqu’en bordure de green...

Jésus lui jeta un regard mauvais, sortit également son fer 6, et frappa trés haut, prenant bien soin de ne pas topper.

La balle tomba en plein milieu de l’obstacle d’eau, puis resta là, tranquille, à flotter à la surface.

Jésus s’avança vers la balle, très digne, en marchant à la surface de l’eau, puis il chippa divinement bien, déposant sa balle à vingt centimètres du trou.Le troisième joueur s’avança sur le tee de départ. Il avait besoin d’un bois 4 pour franchir les 140 mètres qui le séparaient du green, et il s’acquitta de la tâche, ma foi, relativement bien.

Légèrement hookée, la balle rebondit sur le pont de Ben Hogan, et tomba assez loin en bordure de la forêt.
Un écureuil s’en empara et fila au sommet d’un pin pour la mettre à l’abri, mais un faucon qui passait au dessus le vit et lui plongea dessus aussitôt.
Le rapace s’enfuit avec sa proie entre les serres, et le malheureux écureuil lâcha la balle, qui retomba au bord de l’eau, dans la vase. Une énorme grenouille en colère la saisit dans sa bouche et bondit sur le green, mais un éclair la frappa et elle mourut là même, recrachant la balle tout juste au pied du drapeau.

Le ciel s’éclaircit, et le vieux joueur rangea son bois 4 dans son sac, puis il prit le chemin du green, l’air un peu las...

Moïse se tourna vers Jésus et lui fit :
« Tu sais, je commence vraiment à en avoir ras le bol de jouer avec ton père... »

 

 

 


Le lendemain, Moïse et Jésus vinrent jouer seuls.

Au second coup du 15, il restait 200 mètres à Jésus pour atteindre le green, et il sortit un fer 3 de son sac.

« Dis donc, lui fit remarquer Moïse, tu ne crois pas que tu ferais mieux de prendre un bois 3 ?... »

Il fit un bon swing, mais la balle ne franchit pas plus de 160 mètres, et tomba au milieu de l’obstacle d’eau.

« Et voilà le travail », fit Moïse en levant son fer 6 pour écarter les eaux...

Jésus s’en alla ramasser sa balle, puis revint se dropper à l’endroit d’où il avait joué, et empoigna de nouveau son fer 3.

« Ecoute, fit Moïse, c’est sûr que c’est un bois 3 d’ici, tu as tort d’insister... »

« Non, non...Ca va aller...J’ai juste un peu gratté le précédent... »

Il  frappa de nouveau, en forçant un peu, et la balle sliça, puis plongea dans l’obstacle d’eau, nettement à droite...

Moïse leva de nouveau son fer 6, l’air résigné, et les flots s’écartèrent pour permettre à Jésus de récupérer à nouveau sa balle.

Jésus revint, se replaça au même endroit, et reprit son fer 3 sans broncher.

« Cette fois, ça suffit, fit Moïse excédé, si tu la mets encore dans l’eau, tu te dérouilleras tout seul... »

Jésus haussa les épaules, fit une douzaine de coups d’essai plein pot, puis frappa.

La balle alla un peu plus loin, mais il manquait encore dix mètres. Furieux, il laissa Moïse derrière lui, s’avança vers l’obstacle d’eau, et se mit à marcher à la surface, à la recherche de sa balle posée au fond.

Sur le fairway voisin, deux vénérables membres d’Augusta interpellèrent Moïse :

«  Dites donc, qu’est-ce qu’il fabrique votre copain ? Il se prend pour Jésus-Christ ?... »

« Non. C’est Jésus-Christ... Il se prend pour Tiger Woods... »



 

Un homme appelle la police, disant qu’il vient de tuer sa femme, et qu’elle est là, raide morte, dans le salon Lorsque les policiers arrivent, ils trouvent l’homme prostré, et le cadavre allongé sur le tapis, un fer 3 ensanglanté à ses côtés.

« C’est votre femme, demande un policier »

« Oui, c’est bien elle... »

« Elle a été frappée huit fois avec ce club de golf…C’est vous qui avez fait ça ?… »

« Euh…oui, monsieur, mais…euh…est-ce que vous pourriez marquer seulement cinq coups sur votre rapport ?… »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 
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