Les Blagues 4

 

 

 

 

 

Le jour où sa femme découvrit au fond d’un placard une boîte en carton avec 9 balles de golf et 90 000 francs en espèces, Jean-Paul fut bien obligé de s’expliquer...

« Tu sais, fit-il, c’est un truc à moi...Chaque fois que nous faisons l’amour et que ça ne fonctionne pas, je mets une balle de golf dans la boîte... »

« Oh, ce n’est pas si mal, constata-t-elle, nous sommes mariés depuis 17 ans...Mais d’où viennent ces 90 000 francs ? »

« Eh bien, chaque fois que j’en ai une douzaine, je les revends... »

 

 

 

 

 

Sorry, your browser doesn't support Java(tm). Celui qui a inventé le golf voulait que ce soit pour s’amuser. Celui qui inventé la cornemuse voulait que ce soit pour faire de la musique.

 

 

 

 

 

Lors d’un fameux British Open, en 1969, un spectateur s’approcha de Gary Player et lui demanda :

«  Mais comment faites-vous pour arrêter votre balle avec un fer 3 sur des greens aussi rapides et durs ? »
« A quelle distance tapez vous votre fer 3 ?  »  Demanda Player.

« Environ 120, 130 mètres... »
« Alors pourquoi voulez-vous arrêter la balle ?... »

 

 

 

 

 

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En arrivant devant sa balle au second coup du trou numéro 6, le curé de Saint Germain les Corbeil fit une prière :

« Seigneur, je vous ai servi fidèlement...S’il vous plaît, une seule fois, faites que je franchisse cet obstacle d’eau diabolique et que ma balle se pose sur le green... »

Il se mit à l’adresse, et une voix caverneuse se fit entendre :

« Prends une balle neuve, mon fils, elles vont plus loin... »

Le prêtre s’éxécuta, puis se prépara de nouveau à frapper.

« Fais un coup d’essai avant, mon fils... » conseilla encore la voix venue du ciel.

Le coup d’essai accompli, il se remettait en position, lorsque la voix caverneuse tonna de nouveau :

« Ok, mon fils, ok...Prends une vieille balle... »

 

 

 

 

 

Une étude récente aux Etats-Unis a montré que le poids des joueurs de golf est directement proportionnel à leur situation familiale :

En effet, statistiquement, les golfeurs célibataires sont plus minces que les golfeurs mariés.Il apparaît que le golfeur célibataire joue son parcours de golf, puis se rend au bar pour prendre un rafraîchissement, rentre ensuite chez lui, regarde dans son réfrigérateur où il ne trouve rien d’intéressant,  et va se coucher.

Le golfeur marié joue son parcours de golf, se rend au bar pour se rafraîchir, rentre à la maison, se met au lit où il ne trouve rien d’intéressant, puis se lève, et va dans le frigo...

 

 

 

 

 

Jean et Henri prenaient le départ du trou numéro 15 de Saint Germain les Corbeil, quand le drive du malheureux Jean s’égara à droite, dans la pente, là où chemine un petit ruisseau longé d’épaisses broussailles...C’est un endroit où il ne faut jamais aller. On ne voit pas où sa balle retombe, et on a toujours beaucoup de mal à la retrouver.

Ils cherchaient déjà depuis plusieurs minutes, malgré les quolibets de la partie suivante, lorsque Henri aperçut quelque chose à travers les broussailles...C’était un squelette blanchi allongé prés du ruisseau, un fer 5 entre ses mains crispées, et un vieille balle près de lui.

« Eh, Jean, viens voir un peu par ici », hurla-t-il.

« Qu’est ce qui se passe ? » Fit Jean en accourant.

« Passe moi mon sand-wedge, on ne peut pas sortir d’ici avec un fer 5... »

 

 

 

 

 

 

 

Samuel n’avait pas de chance...

Il aimait le poker, mais perdait toujours.

Chaque fois qu’il avait essayé la bourse, il avait acheté au plus haut, et vendu au plus bas...

Le loto ne lui avait pas plus réussi, sa femme était partie avec son meilleur ami, sa voiture tombait toujours en panne la veille des vacances, et lorsqu’il parvenait enfin à partir, il se mettait souvent à pleuvoir...

Sa seule consolation, c’était le golf...

Non qu’il fût un grand joueur, il n’avait jamais pu casser les 100 parce qu’il ne retrouvait jamais sa balle dans le rough, et qu’il devait toujours à jouer avec le vent de façe, mais  il gardait l’espoir, et cela lui permit de supporter son existence, jusqu’à la fin.

A force de tomber sans cesse malade pour un oui ou pour un non, il finit par en mourir.Selon ses dernières volontés, ses cendres furent dispersées sur le fairway du trou numéro 9 de son parcours favori, mais, au moment de la cérémonie, une rafale souffla, envoyant Samuel hors-limites

 

 

 

 

 

Trois malheureux golfeurs arrivent à la porte du paradis, où ils sont accueillis par Saint Pierre.

« Vous êtes donc morts tous les trois dans un stupide accident de la route en vous rendant au golf, constata le saint...C’est vraiment trop bête...Allez, je vais vous donner une seconde chance : vous voyez ce tapis de practice, là bas...C’est le mien...Eh bien, vous allez chacun frapper une balle, et juste après l’impact, vous me direz en quoi vous souhaitez être réincarnés... »

Le premier joueur s’avance, frappe la balle avec un driver et crie bien fort : Ben Hogan ! Et il se retrouve avec une magnifique casquette sur la tête et une cigarette au coin des lèvres : Son voeu est exaucé !

Le second joueur frappe à son tour en demandant : Tiger Woods ! Et il se mue aussitôt en un magnifique athlète, chemisette rouge et pantalon noir assortis...

Le troisième s’empare alors du driver, frappe de toutes ses forces, puis lève le bras droit en hurlant : « BALLE ! !... »

 

 

 

 

 

 

Il y a de magnifiques parcours de golf en Afrique du sud, mais il faut parfois se méfier des animaux sauvages qui s’y aventurent...Lorsqu’ils se firent surprendre par un jaguar, l’année dernière, deux golfeurs bien connus se réfugièrent dans un arbre, mais cela ne leur servit pas à grand’chose...il fallait fuir...

Le Sud Africain ôta alors son pantalon, puis ses chaussures de golf .

« Qu’est-ce que tu fais ? Demanda son partenaire, c’est stupide...Tu ne penses pas que tu vas courir plus vite que ce jaguar ?... »

« Euh, non...Ce que je veux, c’est courir plus vite que toi... »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
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